Il piatto più rappresentativo della cuisine à la française è senza dubbio niuno il foie-gras.
A me non piace, ringraziando il cielo.
Non sto qua a sollevar questioni su vegetarianismo, veganismo, fruttarismo, paleoliticismo, però la façon di preparazione di questo piatto è crudele fino allo svenimento, per me.
Quando ero piccola, spesso guardavo in videocassetta “Gli aristogatti” e ridevo a crepapelle quando comparivano Adelina e Guendalina Blabla che andavano a trovare lo zio Reginaldo, il quale, ubriaco fradicio, scampava per un soffio al martirio culinario in un ristorante parigino.
Il mercoledì esce in edicola l’hebdo satirico “Le canard enchainé” che fu fondato nel lontano 1915. Come spiega Wikipedia:
Son nom fait malicieusement allusion au quotidien L’Homme libre édité par Georges Clemenceau, qui critiquait ouvertement le gouvernement de l’époque. Ce journal (en français familier, ce « canard ») doit alors subir la censure de la guerre, et son nom est changé en L’Homme enchaîné. S’inspirant de ce titre, les deux journalistes Maurice et Jeanne Maréchal aidés par le dessinateur H.-P. Gassier décident d’appeler leur propre journal Le Canard enchaîné, dont le premier numéro paraît le 10 septembre 1915.
La première série, faite avec des moyens limités, se termine au cinquième numéro. Le journal renaît cependant le 5 juillet 1916, point de départ de la série actuelle. Le titre du journal a connu une variante : Le Canard déchaîné, du au .
Les deux canards de la manchette du journal (chacun dans une des oreilles du titre du journal) et les canetons qui s’ébattent dans les pages sont l’œuvre du dessinateur Henri Guilac, un des premiers collaborateurs du journal.
Non c’è dubbio che le canard sia un animale assai presente nella cultura popolare francese, dalla cucina alla stampa. Molto più che in Italia.
Gli inglesi, dal canto loro, dicono “What is good for the goose is good for the gander“, che è uno dei proverbi che preferisco per le sue implicazioni femministe.
Tra tutte queste anatre sembra di trovarsi a Paperopoli.
O meglio, nelle campagne paperopolesi, appisolati sotto un bel platano insieme a Ciccio, mentre sogniamo una bella torta alla panna e fragole appena sfornata da Nonna Papera.